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mercredi 26 février 2014

La faute aux pauvres

 They won!   On a gagné!
                                                Sont pénibles, les pauvres, ces losers: toujours à se plaindre!
Devraient arrêter...
W.B., source d'inspiration...
   Sont gonflés, d'autant que la plupart ne paient pas d'impôts (oui si peu)
Nous fatiguent...
  Toujours à lorgner sur les beaux quartiers et les solides comptes en banque!
Des envieux, je vous dis, qui pourtant se ruinent à achèter smartphone et champagne à Noël...tout en trouvant les fins de mois difficiles, surtout à partir du 10...
   Toujours à regarder plus haut: la Mercédés du  voisin, sa piscine, son jet privé...
L'herbe est toujours plus verte à côté.
       Devraient enfin comprendre une chose:
 La lutte des classes est terminée: les riches l'ont gagnée !
Warren Buffett l'avait pourtant bien dit, dès 2006, et JLSS confirme:
« C’est ma classe, les riches, qui a déclaré cette guerre et c’est elle qui est en train de la remporter » ! avant de confirmer en 2011 que cette guerre avait bel et bien été gagnée : « they won  » – ils ont gagné!
       Les faits lui donnent raison car, s’il fut approprié un temps d’évoquer les fameux « 1% » les plus privilégiés, certaines fortunes ont pu croître de manière exponentielle à la faveur même de la crise..."
       Et pas qu'aux USA
Les plus démunis n'ont qu'à s'en prendre à eux-mêmes: la pauvreté et la précarité sont le produit de la paresse, d'un manque d'initiative, d'audace entrepreneuriale et boursière. Maggie l'avait assez dit, comme son ami Reagan, et Hartz plus tard, à la suite d'une longue tradition, qui remonte au début de l'ère industrielle.  
       Commme disait le Le pasteur baptiste Russell Cornwel  (1853-1925) « Je dis que vous avez le droit d’être riche, et c’est votre devoir de l’être. L’homme qui devient riche est peut-être l’homme le plus honnête de votre communauté. Je serai clair sur la chose : 98 % des hommes riches vivant en Amérique sont honnêtes et se sont hissés au sommet à la force du poignet. C’est justement la raison pour laquelle ils sont riches. C’est aussi la raison pour laquelle on leur fait confiance en matière de finance. C’est la raison pour laquelle ils ont créé de grandes entreprises et qu’ils ont réussi à inciter des tas de gens à travailler pour eux. Je compatis néanmoins avec ceux qui sont restés pauvres, même s’ils doivent, d’abord, à leur propre incompétence de n’avoir pas échappé à leur condition. Rappelons-nous qu’il n’y a pas une seule personne pauvre aux États-Unis qui n’a pas été pauvre par ses propres défauts et faiblesses. »

      Quand on veut, on peut!
Chacun a sa chance, disait un Président et l'argent, c'est la liberté.
      Voici venu le temps des riches, des très riches, qui n'ont même plus besoin d'investir.
   .Mais suffit pas de rêver.. et le ressentiment ne mène qu'à la résignation
    Les riches, sans complexes, sont justement récompensés des efforts qu'ils fournissent, des initiatives qu'ils prennent, donnant du travail aux pauvres, contribuant aussi par leurs impôts à leur existence et à leur bien-être, pratiquant même la charity -(business).
    La richesse ruisselle du haut en bas et plus il y aura de riches, moins il y aura de pauvres, du moins de très pauvres. Même si certains prétendent que les pauvres financent les riches.
  Heureusement qu'ils existent! Et on peut les taxer: ils sont si nombreux!
Sans eux, la jouissance de sa fortune serait-elle possible?
     Les très riche se sont faits eux-mêmes, tout seuls, à la force du poignet. Ce ne sont pas des losers.
Voyez tous ceux qui sont partis de rien, ou presque,comme Rockeller, Carnegie, Soros, etc...
     Ils se sont sortis tout seuls de la précarité.
Demain, tous riches! C'est possible!
Pourquoi tu tousses?...
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